Le Chevalier Taillefer

Chevalier Inflexible de l'Ordre Ecarlate

[list]{Identité.»

Nom : Taillefer
Prénom : Jarod
Surnom : Le Butor
Âge : 172 saisons bon okay 43 hivers pour faire simple
Race : Humaine
Origine :né à Lushan, vécu sa plus grande partie de vie à Oonagh résidant dorénavant à Altérone.
Statut : Chevalier
Langues connues : Makaï Harkonien parlé moyennement, Humain Harkonien parlé couramment
Orientation sexuelle : Le code ne parle pas de la sexualité donc je m’abstient

{Physiologie.»

Physique :
Que dire de ce rude gaillard qu’est le chevalier Taillefer, on peut tout simplement commencer par le faite qu’il arbore parfaitement la carrure du rang qu’il occupe. L’entrainement qu’il a subit durant son adolescent, qui c’est ensuite prolonger au reste de sa vie, bref pour faire simple depuis qu’il tient une arme, lui vaut d’avoir une musculature plutôt développer pour un humain. Ceci coupler à un taille plus que raisonnable, celle-ci dépassant d’une bonne tète l’encolure de son destrier (environ 1m90 d’après mes recherche :p) lui confère une certaine classe qui est peut négligeable sur les chemins ou dans des rencontres, sur un champ de bataille c’est une autre histoire il est tout simplement commun sans plus. Ce chevalier arbore une longue chevelure châtain foncé, plus qu’un quelconque effet de style ou de classe, celle-ci représente pour lui le nombre d’année qui ce sont écouler depuis son adoubement. C’est un vœu qu’il c’est fait à lui-même bien inutile mais comme tout le reste il le respecte. Son visage creuser par le temps et les épreuves est dur et tiré on y voit le poids des années qu’il a traversé. Ces trait étant quelque peut masquer par un énorme bouc, ses yeux quand à eu affiche une couleur gris perle. Pour finir son corps si un jour vous avez le malheur de le voir dénuder vous remarquerez rapidement que celui-ci est parcourut de cicatrice et ceci plus qu’autre chose montre son parcours et son histoire, ses muscles saillant ne laisse transparaitre que peut de graisse si ce n’est peut être sur les hanches mais bon l’âge ne facilite pas les choses et on s’empâte.

Allure :
Une chose peut être dit immédiatement quand on le croise, cet homme respire la fierté, tout aussi bien celle de son statut, mais aussi de ses valeur et de son parcours social, ceci vous saute au visage immédiatement après l’avoir vu. Une démarche bien académique qui ne peut avoir été apprise qu’après moult année dans un centre de formation militaire. Son allure transcende son rang et l’importance qu’il y attache. Son visage quand à lui transmet toutes la sévérité et la rigueur dont il peut faire preuve, il indique qu’il est homme à ne pas tolérer l’échec, les écarts de conduite ou la trahison.

Goûts vestimentaires :
Jarod n’a pas une garde robe diverse et varier, pour faire simple il n’a qu’un style vestimentaire qui est celui de son armure sur le corps. La chevalerie étant tout pour lui depuis qu’il fut autorisé à en porter les attributs, en temps normal il porte un plastron d’acier accompagné des épaulières, des avant bras et des jambières qui l’accompagne avec ce trouvant en dessous une lourde cote de maille. Ses mains sont recouvertes d’épais gant en cuir.

Cependant il possède une autre armure correspond bien plus au style des chevaliers, une armure complète du heaume aux éperons en passant par la cape. L’intégralité de l’armure est d’un noir ébène. Seul le faciès de son heaume ressemblant à un visage humain et couleur métal parcouru de dorure. Sa cape quand à elle est d’une couleur cramoisi broder de deux hallebarde entrecroiser. Cette armure est portée généralement pour ses déplacements à la capitale d’Altérone pour dissimuler le sceau d’esclavage situer sur sa joue droite à la cour de la duchesse. Il lui arrive de la porter aussi lorsque qu’il part dans un Duché comme celui de Lushan ou l’esclavage est plus que présent.

Spoiler:

Signes particuliers : Une masse de cicatrice sur le corps et les sceau de l'esclave apposé au prisonnier de l'armée de Narzin lors de sa conquête d'Oonagh. Sa joue droite quand à elle est ravager par une vilaine blessure partant du haut de l'oreille jusqu'au menton, passant par la pommette formant ainsi un bel arc de cercle.

{Psychologie.»

Généralités :

La fidélité, voilà le mot qui peut décrire cet homme, en effet ce chevalier d’origine humble n’a que ce mot à la bouche. Du temps où il était encore dans l’armée régulière d’Oonagh cette fidélité allait à son Duc et que quoi qu’en dise les gens sur la Grandeur de celui-ci, Jarod n’eut jamais à dévier d’un yotas de la ligne de conduite qu’il c’était fixer mainte année auparavant. Maintenant cette fidélité c’est reporter sur la gente dame que l’on nomme, Duchesse d’Altérone ou pour ses sujets Dame Myrkon. Il ne fut pas l’un de ceux qui tenta de mener une quelconque résistance pour remettre en place l’ancien régime résidant en Oonagh, après tout le Duc était mort, après sa lutter pour assouvir la soif de puissance. Il préféra voir à long terme et partir dans le Duché des humains depuis prêt d’un siècle et ainsi offrir son épée à la Duchesse d’Altérone. Cette fidélité sans faille qui ne lui laisse qu’un regret ne pas avoir su protéger son ancien seigneur quitte à lui offrir sa vie.

Ormis sa Jarod est un homme inflexible qui ne supporte guère que l’on vienne ternir d’une quelconque façon ce dont il a la garde, d’un naturel plutôt emporter et ayant un cruel manque de vocabulaire soutenu, c’est dans ce genre de moment que ses origine modeste ressorte au triple galops. Ce Chevalier c’est créer son code et bien qu’il ne compte pas l’imposer aux autres enfreindre l’une de ses règles sous ses yeux à tendance à vite faire sortir les armes de leur fourreaux. Pour lui les règles représente tout et sont ce qui différencie l’homme d’honneur, de l’être sans foi ni loi. Ce code étant pour lui plus important à ses yeux que sa propre vie, il n’est donc guère bizarre de le voir prêt à mettre dans la balance ce don unique que ses parents lui ont fait cadeaux pour protéger ce qu’il appel son éthique. Jarod étant aussi un inconditionnel du respect de toutes les lois des lieux où il réside il est donc impossible de le voir les enfreindre, mais il n’hésitera pas à les faire respecter comme tout chevalier qui ce respecte.

La fierté est le troisième grand très de caractère qui peut qualifier cet homme, quoi qu’on puisse en dire ou même en penser son parcours laisse rêveur bon nombre de ses congénères. Il a commencez plus bas que terre à peut prêt au niveau de la fange d’une étable qui n’aurait pas eu de toit. Il est monté petit à petit et à trimer pour y arriver, il a donc une fâcheuse tendance à ce montrer hautain, voir même imbus de lui-même en présence de nobles ou autre personne qui tire leur titre de leur sang à l’exception des personnes à qui il a prêté allégeances. Le Chevalier Taillefer juge que bien qu’inférieur en rang il leur reste supérieur en valeur. Il n’hésite donc pas à le montrer s’attirant parfois nombre d’ennui, Cependant il est à noter que l’effet inverse ce produit avec les gens de basse extraction, cet homme sait d’où il vient et il ne l’oublie pas sa reste même totalement présent à son esprit. C’est pour cette raison qu’il a de plus grande facilité à s’intégrer parmi les gens de basse extraction que les autres.

Pourtant même pour un homme de sa stature il y a une chose qui est à noter, malgré son courage et sa vaillance débordante dans tous ce qui touche au combat, cet homme est une véritable catastrophe dans tous ce qui touche à « l’art » du courtisage. Ce Chevalier à aussi un gros problème et si l’on cherche à le connaitre on a tôt fait de le découvrir, il suffit de parler de la chute de son ancien Duché et de ce qu’il y a vu, cet homme emplis de fierté s’effondre comme un château de carte exposer au vent. Il s’effondre, devient agressif tout en refusant catégoriquement d’en parler, on en vient à ce demandé si ses souvenirs ne lui ferait pas peur ? S’il ne serait en Altérone à garder une frontière avec Oonagh pour racheter ce qu’il juge comme une faute, une traitrise à ses valeurs ? Dans tous les cas sa ne prouve qu’une chose qu’importe son rang un homme reste un homme avec ses failles et ses faiblesses.
Vices :
Le plus gros des vices de Jarod ne peut pas vraiment être nommé comme tel, ce problème viens en même temps de ce qui fait vibrer son âme, sa fidélité, cet homme est capable des pires atrocités au nom de celle-ci. Une atteinte à son suzerain que ce soit verbal ou physique le pousse comme par enchantement à réparer l’affront. Vous pouvez même me croire sur paroles lorsque je vous dis qu’il ne règle pas sa par la voie diplomatique mais celle des armes et du sang. Le Chevalier Taillefer pousse parfois même le vice à commettre ses actes avant les fameux affronts, appelons sa une vengeance préventive. Ce personnage à depuis longtemps apprit que la justice seule ne suffit pas et qu’il faut en certaine occasion ce montré plus persuasif.

Il a bien entendu d’autre vice qui eux mérite leur nom, le dernier en date est la bouteille depuis quelque année maintenant il à une fâcheuse tendance à être plus appuyer sur la bouteille, la raison en reste inconnu même si certaine mauvaise langue parle dans son dos en disant qu’il bois pour oublier sa débâcle. Un autre de ses vices étant le jeu on peut dire qu’il y est particulièrement sensible, d’ailleurs plus l’enjeu est grand plus celui-ci pourrait le passionner, son préférer restant les duels qu’il considère comme le jeu ultime où l’on met dans la balance sa vie, cependant il n’y a qu’une chose qu’il ne mettra pas dans la balance du jeu, son statut.

Aime :
Il aime son statut mais sa je pense que vous l’auriez compris, les gens loyal ou ayant ce qui lui manque quelque peut c'est-à-dire un sens de la justice totalement blanc. Les armes de fer ou d’acier tienne une bonne place dans ses passions car pour lui rien n’est plus fiable qu’une lame effiler et bien manier, il est donc évident qu’à défaut d’aimer il respecte tout du moins tout ceux qui ont choisit la voie des lames plutôt que celle de la magie. L’honnêteté et franchise sont deux valeurs qu’il apprécie tout particulièrement et ont peut dire que les principal choses qu’il sait apprécier ce trouve ici même si d’autre chose comme le jeu arrive en arrière plan.

N'aime pas :
La première chose à dire son les mondanités, c’est une chose qu’il a toujours détester, fête de château, rassemblement de chevalier, faire du lustrage d’armure à ces supérieur … ce sont des choses qu’il ne supporte guère, il préfère de loin l’action et la franchise. Il n’aime pas la noblesse de sang à plus forte raison si ceux-ci montre sous leur air supérieur. Il ne s’aime pas non plus depuis qu’il enfreint ses convictions en lâchant prise dans la guerre contre les Sundarite et par extension même si il ne sait pas à quoi elle ressemble il n’aime pas Narzin qui l’a obligé à fuir sous le poids de sa magie et de ses armées.

Sociabilité :

{Informations Complémentaires.»

Arme de prédilection : Le marteau de combat

Style de combat :
Jarod utilise un style qui lui est propre, certes il a les base du combat enseigner par l’ex armée régulière D’Oonagh, mais celui-ci à évoluer au fil de sa vie. Il met à profit l’allonge de son arme et sa puissance pour écourter les combat, un style issue des bataille ou les effets de manche existe pas, il n’y a pas de botte secrète, de passe compliquer, c’est peut être même dans ce point que réside sa plus grande faiblesse, on peut lire en lui comme un livre ouvert. Un style sans fioriture simple et allant au principal la mise hors d’état de nuire. Cela revient donc à dire que ce Chevalier n’est pas à craindre par sa technique élaborer loin de la, celle-ci étant plutôt basique. Sa technique réside donc en trois points de base allonge, précision et puissance.

Le Chevalier Taillefer est plus à craindre par sa résistance, sa lourde armure finement ciselé et son physique l’aide certes, pourtant c’est son mental qui fait le plus gros du travail. Le problème n’étant pas qu’il refuse la défaite ou qu’il accepte la mort, non il souhaite juste être digne de son rang pour sa il est toujours prêt à ce relever, chaque fois qui ce remettra sur ses pieds et réarmera son bras sont autant de coup de butoir dans l’esprit adverse. Ceci représente sa véritable force.

Magie maîtrisée :
Aucune, il n’a jamais essayé de l’apprendre et n’essayera jamais, pour lui un différent ce règle dans un combat bien sur, cependant il préfère l’acier effiler d’une arme que les sort. Il la laisse donc ceci au gens « cultiver » ou suffisamment pleutre pour refuser un corps à corps brutal.

Sorts connus : Je vous le donne dans le mille, aucun.

Chevalier Inflexible de l'Ordre Ecarlate

{Histoire.»

Passé :

L’ambiance était festive ce soir la dans la petite auberge du pendu, ultime étapes pour les voyageurs arasés par leur long voyage pour venir à la capitale d’Altérone. Ce soir la l’alcool allait bon train, il n’y avait d’autre raison que la joie de descendre une chopine en compagnie d’autre voyageur. Bon nombre de voyageurs venait d’Oonagh leur accent à couper au coutelas valait toutes les présentations mais celui qui nous intéressait le plus était au coin du feu et s’apprêtait à commencer un récit nul doute que ce réfugier d’Oonagh gagnait sa croute en temps que conteur. L’homme était vêtu d’aillons et sentait le fauve, la vie ne devait pas être rose pour lui et même si son apparence ainsi que son odeur avait tendance à nous conseiller de rester éloigner de lui, petit à petit les badauds s’approchait pour entendre parler d’un homme de basse extraction devenu chevalier. Pour tout le monde cela ne resterai qu’une histoire tirer d’une imagination fertile, mais après tout qu’en on avait peut il fallait parfois dépenser une broutille pour pouvoir rêver et oublier sa condition.

Le conteur attendit que la nouvelle ce propage lentement dans l’auberge et que le monde intéresser eut finit de prendre place comme il le pouvait avant de s’éclaircir la voie par un raclement de gorge bruyant, celui-ci incitant le petit attroupement à faire silence. Une fois que le conteur fut sur d’avoir toute l’intention qu’il désirait, il prit un air grave et commença :

« Laisser moi tout d’abord me présenter par le passé on me nommait Signak et j’étais un Hérault rattacher à l’armée d’Otto III l’homme dont je vais vous parler est né comme nombre d’entre vous, dans la fange d’une famille sans grande richesse et encore moins de noblesse. Je vais vous parler comme promis d’un homme qui à toujours combattu ses origines jusqu’à finir dans la chevalerie. Cet homme n’est autre que le Chevalier Taillefer, un homme fier représentant la troisième génération d’une famille humaine d’esclave affranchit sur les terres de Lushan. Une famille de forgeron d’un petit village perdu dans les falaises sans retour. Son nom de famille c’est son grand père qui l’a choisit et qu’importe son ascension social il l’a gardé. C’est un homme qui sait d’où il viens et dont vous pouvez demander l’aide si un jour vous le croisez. Vous pouv… »

« Pour le croisez faudrait qu’il existe ton homme de Lushan, un chevalier à l’écoute du petit peuple faut pas ce moquer de nous non plus, tssss. »

L’homme qui venait d’interrompre le récit était passablement émécher, mais son intervention avait suffit à lancer un grand brouhaha de consentement. Le silence ne semblant pas vouloir revenir malgré de nombreux raclement de gorge, le conteur voyait sa possible rémunération s’éloigner si il ne réagissait pas. Ce fut d’une voie forte qu’il reprit son histoire :

« … VOUS POUVEZ ME CROIRE, *l’attention revenant le ton baissa pour forcer les récalcitrant à faire silence pour entendre le murmure peut audible*, il m’a aidé moi quand j’ai tout perdu dans la guerre d’Oonagh il y a cinq ans, pourtant comparer à lui je ne suis rien tout comme vous. Cet homme je l’ai connu donc laisser moi continuer je vous prie. Jarod de son prénom fut élever comme tout autre enfant de basse extraction on lui traçait son chemin, on lui apprenait le métier de la forge et il partait pécher pour trouver sa pitance. Pourtant ce garçon très jeune montrait de l’ambition et les jeux d’enfant où l’on combat avec des bâtons lui il les prenait au sérieux. Il rêvait de sortir de la fange pour briller par son ascension. Qu’ouïe je sortir de certain bouche ? Qu’il est beau de rêver ? Voila surement ce qui le différencie de vous, lui il y a crut et il a fait en sorte de réaliser son rêve. Pourtant public je vous sens ennuyer par son enfance voila pourquoi je la sauterai et la garderai pour des gens désireux de la connaitre.

Accélérons les saisons, tous sa pour en arriver à ses seize hivers, ce fut le moment où il fuit la demeure familiale, bien que pas instruit il avait compris qu’ici il ne brillerait jamais. Son père avait eu beau essayer de lui sortir ce que vous nommer doux rêves de la caboche. Rien n’y avait fait et ce fut donc avec une épée de piètre qualité qu’il voyagea sur les routes et les sentiers de nuit et toujours avec d’autres humains lorsque que c’était possible. En terre de Lushan il n’était guère prudent pour un garçon de son âge de trainer à la vue de tous, toujours est t’il qu’il parvint en terre d’Oonagh après quatre saisons de périple sans trop de problème du moins rien qui ne pourrait éveiller votre curiosité. Appelez sa de la chance, sa destiné ou comme vous le souhaiter toujours es t’il qu… »

« MOI J’APPEL SA UN RACONTARD BIEN MAL FAGOT…. »

La barrique venait encore de parler, mais cette fois-ci Signak fut prompte à la réaction une chope vide qui était à porté de main fut saisit, la pauvre servit de marteau pour taper sur le sol et réclamer l’attention :

« TOUJOURS EST T’IL QUI Y ARRIVA pour atteindre son rêve il n’avait pas moult option et ce fut en direction d’un centre de recrutement qu’il ce dirigea. Oui cher public c’est d’un commun et d’un banal mais pas tant que sa car aucun d’entre vous ne la fait. Toujours est t’il que ce fut à cette époque que je le connu, un petit qui avait encore du lait qui sortait du nez si on appuyait dessus, un visage bien juvénile quand j’y repense qui ne cadrait point avec sa carrure. A l’époque je le prenais de haut pourtant il avait des valeurs indéniable on le nommait « HEY SOLDAT » à quoi bon faire plus il était comme tout les autres. Il avait une détermination et une ambition plus grande que les autres mais on le remarquait pas, ou plutôt je m’y intéressais pas j’étais un Hérault et lui de la piétaille, un morceau de viande qu’on pouvait sacrifier en cas de problème. Pourtant ce gamin monta petit à petit les échelons, il ne brillait pas par des technique complexe au combat la formation était basique et pour avoir de la technique il aurait du avoir un véritable maitre d’arme. Non messieurs c’était sa volonté et sa fidélité qui ont tous fait, toujours est t’il qu’il lui fallut treize hivers pour avoir une section auxiliaire de la milice urbaine sous ces ordres. »

Signak marqua une pause volontaire, il entretenait le suspense, passant sa main sur sa gorge pour signifier sa soif. Il attendait qu’un badaud ce décide à lui rincer le gossier et au bout d’un certain temps d’attente, un homme en ayant marre d’attendre lui tendit sa chopine. Celle-ci étant pas mal entamer le Conteur eu une moue de déception et ingurgita tout de même le divin breuvage, qui vint hydrater son gosier. A force de gagner sa croute ainsi Signak avait apprit comment obtenir ce qu’il avait besoin. Le récit repris donc son cours :

« Jarod était encore loin de son but mais une fois ayant obtenu cette responsabilité il fut comme mue d’une rage sans limite. Cette milice il s’en servit plus que de mesure cherchant toujours les action d’éclat, affrontement de criminel, règlement de rixe, patrouille de territoire, affrontement de bande armée, Le Duc ayant une politique durcit envers les Makaï, Jarod ne prit jamais de gants avec eux lorsqu’il enfreignait la loi. Finalement ce fut sur ses trente et un hiver qu’il atteint son but une troupe Makaï s’en était prit à un noble humain, la raison je la connais pas toujours est t’il que cet homme était bien placer à la cours d’Otto III. Il avait faillit y passer et devait la vie à cette milice ce fut donc en récompense de cet acte qu’il intercéda en la faveur de Jarod, qui grâce à ses excellent état de service et cette action ce retrouva en temps que capitaine d’armée. Cet homme entraina donc toutes son unité dans sa trainé. On racontait à l’époque que c’était pour lui une façon de ce faire pardonner de les avoir ainsi utilisées. Pour moi maintenant avec le recul je pense que c’est plutôt en rapport avec son honneur et en remerciement. Il a sut rester humble malgré son statut.

Son titre de chevalier vint plus tard durant la guerre qui provoqua la chute d’Oonagh, quand on parla de brigand à la frontière, Le capitaine Taillefer fut naturellement le premier sur les lieux pour mater ce problème. Pourtant rien ne ce passa comme prévu, ce qui du être une victoire facile fut une débâcle total. Les brigands ce révélèrent être de puissant soldat Sundarite épauler par une puissante stratégie qui fit que jusqu’à la fin et la perte de l’avant post de frontière. Jarod voyait ses hommes tomber, il n’était pas tacticien et en plus il affrontait des soldats que rien ne faisait reculer. Ceux-ci semblaient sortir tout droit de ses pires cauchemars pour réduire à néant ses rêves et ses espoirs. Deux jours seulement deux jours suffirent à détruire pratiquement tous les hommes auquel il c’était attacher et à perdre cet avant post. Deux jours durant lesquels il apprit la signification de deux mots, celle du mot défaite et de peur, pourtant fidèle à ses conviction ce fut sans grande conviction qu’il avait choisit l’anéantissement et il ne dû la vie qu’à ses hommes qui le rapatrièrent à la capital de force.

Ce fut la queue entre les jambes qu’il fit son rapport la honte l’envahissant sa ce voyait sur son visage et la goutte d’eau faisant déborder le vase fut cette missive de l’instigatrice de tous, une femme il avait été défait par une femme. A ce moment la ce fut la flamme de la colère qui s’embrasa. Oubliant tout protocole il ce lança dans une tirade enflammer demanda de repartir au combat. Un choix qui fut rejeté il fut nommé chevalier pour toutes les informations données et pour avoir été le seul gradé revenu en vie. Son adoubement fut quelque peut bâcler et ce fut une riche armure appartenant à son ancien supérieur qui lui fut offerte. Une promotion donnée surtout pour qu’il garde silence sur cette fameuse fureur guerrière. Il fut donc affecter dans une place forte celle de la ville de Dagolar. Où ses actions au combat lui valurent réellement un adoublement dans les règles par le seigneur de la cité. Ils ont certes résisté quelque temps mais mal préparer et trop confiant la cité tomba sous les assauts jumeler à un siège. Jarod passa de chevalier à esclave marquer du sceau des esclaves, ce fut le cœur plein d’amertume qu’il s’enfuit par une nuit à la garde relâcher avec quelque homme décider pour tenter de quérir l’aide D’Altérone. Idée oh combien futile, avant d’atteindre la frontière il apprit la chute d’Oonagh et la fin de son Duc.

On raconte maintenant que maintenant qu’il ce trouve dans les montagnes des Griffes divines à surveiller son ancien duché. A surveiller la princesse Narzin gardant la marque au fer rouge ayant mordu sa nuque et sa cuisse comme souvenir, pour ne pas oublier sa rancune. Il aurait créé un ordre de chevalerie avec d’ancien membre de l’armée d’Oonagh dans l’attente de réaffronter ces hommes sans peur, voir passer Narzin par le fil de son marteau de combat, tout sa pour racheter sa faute d’avoir abandonné son seigneur. Il y a cependant une chose qui est sur sa loyauté et sa vie ce trouve maintenant entre les mains de la duchesse de ce royaume, je le tiens de la sœur d’une servante qui travaille au château qui sait que l’épée du chevalier Taillefer à été donner comme gage de sa bonne foi. Après ayant perdu de vue Jarod, je ne puis vous en dire plus. Mais aller dans les griffes divine et chercher le si vous avez des problèmes il vous aidera et ce qu’importe votre ligné ou votre descendance. Je vous remercierai de donner quelques piécettes pour mon récit, à votre bon cœur messieurs, Dame. »

Signak fit donc la collecte qui ce révéla bien maigre jusqu’au passage d’un homme en armure arborant une cape noire avec deux hallebarde entrecroiser qui partit sans mot dire. Tandis que maintenant son public ce moquait cette histoire voir traitait de pleutre ce terrant dans les cols ce Chevalier. Pourtant peut importait à Signak, lui croyait cette vérité et si au moins une personne de l’assemblé la croyait il n’aurait pas perdu son temps.

{Vous.»

Comment avez vous découvert le forum? J’ai brancher mon radar à forum de Narzin *sort*.
Que pensez vous de ce dernier? Je vais pas trop prolonger ma fiche donc je vais dire simplement qu’il est super.
Quelle sera votre fréquence de passage? Tout dépendra de ma charge de travail et de la fatigue accumulé ou non, mais je peut promettre de passer plusieurs fois par semaine[/list]

Nouveau Duc de Lushan

Ma foi voilà une bien jolie fiche, nia!

Quelques fautes récurentes malgré tout, mais rien de trop grave au regard du plaisir de lecture.

Un smiley s'y est caché, merci de le faire disparaitre.

En dehors de ça, un seul vrai problème : la marque des esclaves. En Oonagh, elles sont appliquées comme à Sundaar, soit la marque de caste à la base de la nuque (ici celle des esclaves de combats) et celle du propriétaire sur la cuisse (cf le Backround, partie traitant de Sundaar).

Voilà, cela nescessite une petite édition mais c'est tout.

Chevalier Inflexible de l'Ordre Ecarlate

Édition effectué merci pour la com' à la vitesse de l'éclair, mon marquage à repris sa forme originel.

Nouveau Duc de Lushan

Hé bien je pense qu'il n'y a plus rien à redire sur cette fiche:

elle est validée.

Bon jeu à toi Jarod!