Kishik
Esclave-messager de Luka II
Messages : 30
Race : Humain
Magie pratiquée : Aucune
Statut : Esclave-messager
Age : 35
Feuille de personnage
Relations:
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 Sujet: Kishik, messager du Duc  Ven 27 Nov - 0:49 |
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{Identité.»
Nom : Miakis
Prénom : Pico
Surnom : Kishik par son Duc pour cause de tendance à chiquer du tabac en permanence (ou presque); anciennement Pipi par son petit frère. Seulement par son petit frère. Capish?
Âge : 23 ans
Race : Humaine
Origine : Lushan, vient d'un petit village situé près de la capitale.
Statut : Esclave-Messager de Luka II
Langues connues : Kishik connait l'humain haarkonien et sundaarite, ainsi que le Makaï Haarkonien avec accent, langues indispensables pour que son métier soit efficace. Il sait lire et écrire l'humain Haarkonien plus que Sundaarite cependant, mais se débrouille tout de même du mieux qu'il peut. Pour ce qui est du Makaï, il le maîtrise assez pour que le Duc lui confie le soin d'écrire les missives qu'il désire envoyer aux-dits Makaï éparpillés dans Lushan.
Orientation sexuelle : Le plaisir n'ayant pas de différence, notre cher Kishik préfère avoir deux fois plus de choix qu'un seul. Et oui, malgré son succès auprès de la gente féminine notre jeune messager sait aussi changer de bord de temps à autres. En particulier quand il a un coup dans l'aile en vérité, allez savoir pourquoi. Un désir intérieur caché et refoulé peut-être. On dit bien que l'alcool désinhibe après tout, non?
{Physiologie.»
Physique : Que dire du physique de Pico? Et bien c'est un homme grand mais pas frêle (1m82 pour 75 kg), bien au contraire grâce à son travail acharné en tant que fils de fermier. Porter des choses lourdes tous les jours, ça vous forme le corps d'un adolescent; de plus n'ayant jamais vraiment mangé à sa faim, notre messager ne s'est jamais empâté. Cependant, bien qu'il aie passé son enfance dehors, bizarrement sa peau n'a pas voulu bronzer comme il faut, ce qui fait qu'au final elle reste blanche... et ce même après tous ses voyages au service de Luka Ier. Allez savoir pourquoi. Du reste, notre messager a un visage plutôt fin et triangulaire, entouré de cheveux roux mi-longs coupés en diverses longueurs, qui eux-même cachent des yeux verts profonds reflètant le plus souvent les émotions de leur propriétaire, en particulier... Lorsqu'il est saoûl. Oh, une dernière chose à rajouter: la nature l'a bien gatée dans ses attributs d'homme, mais pas trop non plus. Juste assez pour contenter des Princesses nymphomanes et quelques filles de joie... Ou autres. Il ne fait pas de distinction tant que l'autre lui plait.
Allure : Son allure change selon l'endroit où il est et les gens qu'il fréquente. En effet, il n'a pas la même allure dans une taverne qu'avec son maître. Allure plutôt nonchalente et calme lorsqu'il rencontre de jolies demoiselles, mais allure plutôt soumise sans non plus se prosterner toutes les cinq minutes. Bah oui, c'est lui qui tient sa vie entre ses mains, tout comme le faisait son père...
Goûts vestimentaires : Les goûts vestimentaires de Kishik quant à eux ont changé depuis qu'il est devenu esclave. Alors qu'auparavant le jeune homme était habillé de façon très très simple avec un style fermier (moyennâgeux hein, pas version "petite maison dans la prarie"), voire moins simple quand il était sous les ordres de Luka Ier, à présent il est habillé selon le style préféré de Luka II, qu'il a appris à apprécier lui aussi: un style axé sur les codes vestimentaires asiatiques. Yukatas, obis, vêtements chinois de toute sorte, mais adaptés afin qu'il soit libre de ses mouvements à chaque instant, tout en restant quand même un minimum discret. C'est qu'être messager c'est aussi signe de discrétion... Aheum.
Signes particuliers : Le premier signe particulier à signaler est celui qui témoigne de l'état d'esclave de notre chiqueur. Comme tout esclave, il porte la marque de son possesseur sur le derrière de l'épaule gauche (ici une patte de tigre), ledit possesseur n'étant à présent autre que le nouveau Duc Luka II de Lushan, successeur de Luka Ier, tué lors d'un attentat six mois plus tôt. Son deuxième signe particulier déjà évoqué plus haut se trouve être... qu'il chique du tabac à longueur de journée. Sauf quand il dort. Bien que... Bref, le tabac: sa passion. Pas bon pour le corps, mais peu importe tant qu'il peut mastiquer et fumer tout son saôul.
{Psychologie.»
Généralités : Que dire du caractère de notre esclave? Et bien premièrement, parlons de son sens de la survie qui ne le cachons pas est assez développé, à tel point qu'il a peu de scrupules lorsqu'il doit sauver sa peau, ce qui découle sur un certain égoïsme de sa part et un opportunisme assez fort. Bin oui, autant profiter des circonstances si on veut survivre, surtout sur Haarkon en tant qu'humain. Ajoutons tout de même que malgré son égoïsme, Kishik peut être prévenant envers les personnes qui l'intéressent ou à qui il tient (ce nombre de personnes est assez réduit)... parfois même un peu trop. La preuve, il est tellement protecteur parfois qu'il peut devenir très violent, bien que tout dépende de la personne qu'il a en face: il n'oserai jamais frapper son Maître, car il sait qu'il subirait de grosses représailles, tout comme ceux qu'il s'évertue à protéger comme il peut. De plus, Kishik a le parler facile, surtout avec les filles. Oh, ce n'est pas non plus un moulin à paroles, mais apparemment cette faculté de parler facilement lui donne un certain succès auprès des filles (surtout les filles en fait). On pourrait peut-être même simplement dire qu'il est "beau parleur", autant à cause de sa bouille pas repoussante que de l'utilisation qu'il fait de ses cordes vocales. Enfin, nous pouvons évoquer le fait que notre messager aime le travail bien fait ce qui le rend trèèss pointilleux sur les détails peu importe l'activité, mais qui ne fait pas non plus de lui un maniaque de quoi que ce soit.
Vices : Le sexe. Après le tabac, le sexe. Et oui, qui croierait que sous cette allure nonchalante se cacherai un homme aussi accro au jeu du corps à corps mêlés. Lit, foin, herbe, forêt, peu lui importe tant qu'il prend son pied et que sa (ou son) partenaire en a aussi pour son plaisir... ou argent, tout dépend où il dégote son autre moitié pour la nuit.
Aime : Sa famille qu'il a perdue, la compagnie d'autrui sous toutes les formes, se sentir libre lorsqu'il doit délivrer un message, les belles gens, chiquer du tabac à longueur de journée--ça lui fait faire le vide et parfois cogiter, ainsi que les carottes (parce que ça rend aimable) et le lait.
N'aime pas : Les menaces, la pluie, les chevaux (qui lui rendent bien), les radis, les gens qui se prennent de haut, ou encore rester enfermé des heures à la forteresse de son Maître.
Sociabilité : Il se trouve qu'en fait Kishik est quelqu'un de très sociable. Pas rieur pour un sou, il aime parler et bizarrement ça l'aide beaucoup auprès des femmes.
{Informations Complémentaires.»
Arme de prédilection : Le wakizashi, ce katana court mais pratique, à la lame tranchante, ainsi que les poignards et dagues ou autres petites armes de jet ou de combat rapproché qui peuvent le défendre correctement.
Style de combat : Kishik n'a pas vraiment de style de combat, il pense surtout à défendre sa peau et le message qu'il porte.
Magie maîtrisée : Absolument aucune.
Sorts connus : Il en connait autant qu'il connait la magie, c'est à dire aucuns.
{Histoire.»
Passé :
~Chapitre 1: Une vie normale~
La pseudo paix. C'est ce qu'a connu Kishik de sa naissance jusqu'à la fin de son adolescence. Kishik né Pico Miakis est l'aîné des fils de fermiers Harkooniens du duché de Lushan. Il est né alors que le Royaume était encore en paix, ou du moins lui n'a rien vu de ce qui pouvait annoncer une guerre.
L'odeur du foin, de la paille, des champs... Oui, c'est ce qu'il a toujours connu. Ses parents passaient leurs journées aux champs, tout en prenant le temps de s'occuper de lui. Intéressé, Pico fit son curieux dès qu'il eut conscience de la chose, et aida dès son plus jeune âge aux travaux des champs. Oh, tout petit on ne lui donnait pas une fourche à planter dans le foin, et des rênes à tenir pour laisser les chevaux labourer les champs, bien sûr que non. Mais il aidait quand même à sa façon, et ses parents en étaient heureux. Oui, il ferait un bon fermier, et un bon sujet pour le Duc.
Les années passèrent ainsi, Pico aidant ses parents de plus en plus au fur et à mesure que son corps prenait de la graine, puis lorsqu'il eut 12 ans, la vie à la ferme changea du tout au tout. La famille compta un second garçon parmis ses rangs... mais perdit la seule femme de la maison, cette dernière n'ayant pas survécu à l'accouchement qui cette fois-ci s'avéra difficile. La joie qui régnait dans la maison n'était plus, malgré la naissance de Tristan, mais le deuil ne put durer longtemps: il fallait se remettre au travail pour survivre et oublier. Puisque sa mère n'était plus là et que son père travaillait d'arrache pied, ce fut à Pico de faire la nounou du petit Tristan. Tristan... Triste. Oui, il l'avait rendu triste ce petit frère. Il lui avait pris sa mère qu'il affectionnait tant, qui lui manquait tellement. Pico pensa même à se débarasser de ce frère qui avait apporté le deuil dans leur maison, mais au final il pensa à son père qui voyait son second fils comme un souvenir de sa femme tant aimée... Alors il oublia cette idée et s'occupa comme il put de ce petit être si fragile. Petit être si fragile qu'il finit par prendre en affection, petit être si fragile qui en grandissant ressemblait à son aîné plus jeune, mis à part la différence physique. Lui aussi se mis en tête d'aider son père et son frère aux travaux avec le sourire... Jusqu'à ce que leur petit monde s'écroule avec l'invasion Sundaarite dans le duché d'Oonagh.
~Chapitre 2: Une vie d'esclave~
L'invasion du peuple Sundaarite n'eut pas seulement des répercutions sur Oonagh... mais aussi sur Lushan. Luka Ier en profita pour rétablir l'esclavage des humains dans son duché en usant de son influence sur leur Roi si faible, ce qui eut pour effet de mettre la famille de Pico en danger, encore plus qu'elle ne l'était déjà par son statut de famille humaine.
Un soir où Pico (qui chiquait déjà) et son frère finissaient de rentrer à deux le foin dans l'étable, des bruits de sabots se firent entendre tout près. Il était rare que des cavaliers passent près de chez eux sauf pour venir chercher leur dût mensuel, ce qui alerta le plus vieux qui dit à son petit frère de rentrer vite à la maison. Cependant, le petit eut à peine le temps de rentrer que des silhouettes se distinguèrent dans la lumière déclinante du soleil, celui-ci l'aveuglant partiellement, l'amenant ainsi à prendre une position de défense sous la peur, sa fourche en avant alors que le groupe passait tout près de lui. Coup de malchance, son geste eut tôt fait d'effrayer le premier cheval qui se cambra, son cavalier à forte carrure essayant de le calmer mais la monture n'en fit qu'à sa tête et repartit au galop malgré les ordres du Makaï, suivi presque aussitôt par quelqu'uns de ses hommes dans le but d'arrêter la bête effrayée... qui par vrai comble de malchance rata un obstacle qu'elle avait essayé de sauter et envoya ainsi valser le Makaï au sol. Pico, trop surpris pour faire quoi que ce soit restait figé sur place, son père finissant par sortir de la maison, seul.
- Pico, qu'est-ce qui se passe??
- J'sais pas, z'ont débarqué d'un coup, j'ai eut peur alors j'ai avancé le...
- C'qui "ils"?
Mais quand Alderan releva la tête vers les cavaliers qui revenaient vers eux, son visage pâlit à vue d'oeil malgré la couleur orange du soleil couchant: il venait de voir ce Makaï si différent des autres avec sa carrure plus athlétique, mais surtout avec cette couleur blanche tigrée. Pico tenait toujours fermement la fourbe entre ses mains, encore apeuré au final.
- P'pa...?
Mais ledit père ne dit rien de plus et s'inclina fortement en obligeant son fils à faire de même, ce qui le fit lacher son "arme", alors que le "nouveau" cheval sur lequel était monté le Makaï s'arrêtait juste devant eux. Pendant ce temps, Tristan avait passé sa petite tête par la porte.
- Seigneur, s'cusez mon fils, il a pas fait exprès--
- Tais-toi, humain!! Un déchet comme toi n'adresse pas la parole au Duc!
- Suffit, Tiyor. Mettez-les aux fers. Tous les trois.
Alderan et Pico relevèrent la tête d'un coup.
- Qu--
- Bien, Seigneur.
Le jeune homme recula pour essayer de se soustraire aux hommes du Duc, mais malgré sa bonne carrure pour un humain, il ne fit pas de poids face à celle des Chevaliers qui s'empressèrent de lui lier mains et pieds et de lui passer une corde au cou, faisant fi des gigotements de l'humain, tout comme ils le firent pour son père et son petit frère.
- J'ai dû abattre ma monture par sa faute, vos vies sont à présent miennes.
Et sans rien dire de plus, Luka fit signe à ses hommes qu'il était temps de retourner à la forteresse. Pico essaya de se défaire de ses liens en geignant, refusant de se faire emmener loin de chez lui pour une erreur qu'il n'avait pas voulu commettre... Mais malgré tous ses essais pour se libérer et les quelques coups qu'on lui donna pour le faire arrêter, il ne put enlever ces liens qui abîmaient sa peau. Arrivés à destination, on les sépara... ce fut la dernière fois qu'il vit son petit frère et son père.
~Chapitre 3: Une libération~
Il mit un certain temps à s'adapter à sa vie d'esclave, mais lorsqu'enfin Pico se fit à la chose et qu'il commença à faire les tâches qu'on lui commandait de faire sans rechigner du tout, on lui assigna une nouvelle tâche qui le surpris: coursier du Duc. Pourquoi un tel assignement? Il n'en sut rien. C'est ainsi que commença sa vie de messager sous son nouveau nom de Kishik (chiquer du tabac presque en permanence ça vous donne une réputation apparemment)... Et sa pseudo-liberté qui dura presque cinq longues années. Presque cinq années à faire des allers/retours pour le compte de son "maître", pendant lesquelles il prit aussi du bon temps mais jamais trop longtemps car il savait que s'en serrait finit de lui s'il mettait trop de temps à revenir à la forteresse et que l'on considérerait ce retard comme un signe d'évasion quelconque.
Plusieurs fois il alla en Oonagh, puisque c'était là où il devait livrer ses messages. Nobles Sundaarites influents, conseillers de Nazrin... et même Nazrin elle-même. Par deux fois il lui rendit visite afin de lui faire part des propos de Luka, et par deux fois il sentit quelque chose d'étrange se passer entre l'hybride et lui. La troisième fois... Il comprit ce qui se passait lorsqu'il ancra ses yeux verts dans ceux si peu commun de la Princesse, et tous deux finirent dans le lit de cette dernière, lui entre ses cuisses, elle à gémir sous ses assauts d'homme passionné. Parce que oui... Kishik fut passionné cette nuit-là, attiré par la femme qui avait envahit Oonagh accompagné de son armé... et qui dégageait un certain charme naturel en plus d'user de ses attributs féminins. Le lendemain, il repartit comme si de rien n'était et continua sa tâche de coursier en chiquant son tabac, comme toujours. Jusqu'à cet attentat meurtrier contre le Duc.
Il assista aux funérailles de loin, parmis les autres esclaves--parmis les siens... Ne sachant que penser de cet attentat qui avait tant ébranlé le peuple de Lushan, ni de ces coutumes si peu ragoutantes dont il n'avait toujours pas l'habitude même après presque cinq ans passées parmis les Makaï. Le deuil passé, le temps repris son cours au sein du palais de Luka II, son nouveau maître. Pour Pico, rien ne changea dans sa vie d'esclave si ce n'est que quelques semaines après la mort du père, le fils le fit convoquer dans son bureau... pour un tâche presque autre que celle qu'il faisait habituellement. En effet, le jeune Duc lui ordonna de s'asseoir... et de prendre la plume qui trônait sur son bureau, avant de lui dicter un texte qu'il devait écrire en Sundaarite. Luka lui dicta donc une lettre assez standard dirons-nous, pleins de parler et de politesse noble, parler que Kishik essaya de transcrire au mieux en langue Sundaarite (tout en essayant de s'empêcher de chiquer son tabac) afin qu'il convienne le mieux à la Maîtresse d'Oonagh. La lettre faite et approuvée brièvement par son Maître, Kishik s'enquit de la bonne livraison et réception de la missive si importante... en profitant ainsi pour revoir celle qui fut une fois sa maîtresse d'une nuit tout en usant d'un heureux concours de circonstances afin de retourner dans les draps de la Princesse, et repartir pour Lushan aussi normalement que la dernière fois sur un nouveau canasson qui l'appréciait aussi peu que les autres qu'il montait à présent depuis des années.
{Vous.»
Comment avez vous découvert le forum? Par Mimi qui m'a passé l'adresse un jour où j'ai dis que je ne savais pas quoi faire (je couche pas avec elle moi hein <_<)
Que pensez vous de ce dernier? Il est biooo, intéressant, compliqué un peu, mais j'aime même si j'en ai ch** pour faire cette fiche \o/
Quelle sera votre fréquence de passage? Tous les jours pour regarder ici et là, mais mes fréquences de postage ne seront elles pas journalières, sauf si je suis vraiment vraiment inspirée ^_^. Hebdomadaires sûr.
PS: En espérant que ça sera suffisant ;_; |
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*a hâte, a hâte, giggles*